Il existe, deux grandes écoles de pensée qui semblent parfois se dresser l'une contre l'autre, chacune convaincue d'incarner la meilleure approche. D'un côté comme de l'autre, certains se targuent de proposer les meilleurs soins, et il arrive fréquemment que ces groupes se critiquent mutuellement, se disputant la légitimité. Pourtant, je suis profondément convaincue que si la médecine, la science et la recherche ont évolué à un tel niveau, ce n’est pas par hasard. Chaque approche a sa valeur, ses forces et ses limites. Ni l'une ni l'autre n'est absolument supérieure ou inférieure. Ces deux perspectives, loin de s'opposer, auraient tout à gagner à collaborer main dans la main. Une telle union pourrait engendrer de véritables miracles en matière de santé, en tirant le meilleur parti des savoirs traditionnels et des avancées modernes.

Décembre, avec ses longues semaines, ses journées courtes, le froid, le gel, la brume et cette humidité pesante, plonge peu à peu l’atmosphère dans une obscurité qui alourdit nos corps et nos esprits. Ce climat annonce la montée progressive du dosha Kapha dans l’environnement, qui commence doucement à s’installer et à prendre le pas, prêt à régner sur la saison hivernale, en tandem avec le dosha Vata.

Les  Rishis, nous propose comme idée que l'être humain est constitué de trois corps interconnectés, chacun jouant un rôle essentiel dans notre existence. Ces trois corps sont le corps physique, le corps astral et le corps spirituel

Il y a de nombreux siècles, les Rischis, ont découvert des habitudes bénéfiques pour revitaliser le corps et prévenir les maladies. Cette sagesse ancienne a donné naissance à une routine quotidienne appelée Dinacharya dans la tradition de l'Ayurveda, visant à maintenir la santé corporelle.

On en parle souvent, on l'emploie beaucoup, mais connait on réellement l'essence de ce concept centrale de l'hindouisme ?